Suite Quand la vie meurt
Coucou,
comment allez-vous ? Je vous propose d'autres réalisations écrites et pour me faire avancer vous pouvez laisser un commentaire. A bientôt
Créakika
La pudeur
D’être
N’est celle
Qui dicte
Mon cœur.
Pourquoi s’attarder
Quand tout
Se « démence » ?
Car, croire en vous
Ne serait-il
Que chimères ;
Si ma mémoire
Endeuillée,
Ne trouve plus
L’apaisement
De ne vivre de vous ?
Ne se trompe
Mon visage,
Quand vous voir
N’est pour vous
Qu’indifférence ;
Ce alors
Que je nais,
Car la retenue
N’est-elle pas
Le dernier moyen
De se protéger ?
Ainsi, va la Vie …
Fragile et dénuée de sens,
De ne perdre,
Qu’un semblant Espoir,
De vivre tout simplement.
Bleu
L’oubli
Qui est à l’orée
De mon être ;
De ne revoir que vous.
Les heures ne sont que silences,
Et le printemps qu’un retour,
M’accrochant aux fleurs ;
Et attendre qu’elles se fanent.
Ne serait-ce qu’un flétrissement
De l’âme ?
Un combat ordinaire ;
Qui me rassure.
Et l’Aurore ?
Et la Nue ?
Je ne réponds qu’en murmures,
Je ne vois que :
« Mélancolie ».
Ce spleen long, dure et
Pesant,
Qui éclaire encore mon cœur
Car plus rien ne s’accroche,
Se ressent, et
Tant qu’il évanouit ;
Ma douleur, que j’ai appris,
A apprécier.
Ne vous privez pas.
La souffrance
Coule en moi,
Comme une tâche d’encre
Sur du papier blanc
Sentiments de peine,
De désarroi, non,
Juste du sang bleu, bleus hématomes,
Qui regorgent mes veines,
Et, détruisent lentement,
Lentement et doucement,
Telle une plume,
Qui gratte,
Vous verrez,
Comme les feuilles d’automne,
Qui valsent au rythme
Incessant
De mon cœur.
Deux étrangers,
Trois avec mon cœur,
Que je n’ose sonder.
Apprenez-moi,
Les turpitudes de la Vie,
Car vide de mots,
Dans ce chaos ambiant,
Où mon être résiste,
A l’envie irrépressible,
De trépasser,
Je n’aurais honte,
D’aucunes de ces tempêtes,
Car la seule faiblesse,
Que mon cœur
Tente d’oublier,
N’est que de vous aimer.